Titre provisoire en attendant la publication
- Par Fabrice Nakache
- Date
- Intelligence Artificielle Générative
Un homme fixe l’écran de son ordinateur. Devant lui, des phrases défilent, générées par une intelligence artificielle qui lui répond avec une précision troublante. Il a le sentiment d’être compris, presque deviné. Pourtant, quelque chose cloche. Tout est fluide, logique, pertinent, mais il manque une faille, une hésitation, une trace d’humanité. L’illusion est parfaite, mais l’absence d’un véritable désir rend l’échange creux.
Les promesses de l’intelligence artificielle enflamment les esprits : certains y voient un espoir, d’autres une menace. Mais derrière ces projections, une question plus sourde se joue. L’IA peut-elle réellement penser ? Ou ne fait-elle que refléter ce que nous voulons voir, confirmant nos attentes sans jamais les troubler ? Là où l’humain se heurte à l’inconnu, vacille et transforme son rapport au monde, la machine ne fait qu’ajuster des probabilités.
Les fantasmes autour de l’IA révèlent moins ce qu’elle est que ce que nous désirons qu’elle soit. Elle devient le miroir d’un savoir sans faille, d’une intelligence sans perte, d’un langage sans silence. Pourtant, c’est dans ces manques que se loge la véritable pensée.

(Image générée par DALL-E d’Open AI)
Un homme fixe l’écran de son ordinateur. Devant lui, des phrases défilent, générées par une intelligence artificielle qui lui répond avec une précision troublante. Il a le sentiment d’être compris, presque deviné. Pourtant, quelque chose cloche. Tout est fluide, logique, pertinent, mais il manque une faille, une hésitation, une trace d’humanité. L’illusion est parfaite, mais l’absence d’un véritable désir rend l’échange creux.
Les promesses de l’intelligence artificielle enflamment les esprits : certains y voient un espoir, d’autres une menace. Mais derrière ces projections, une question plus sourde se joue. L’IA peut-elle réellement penser ? Ou ne fait-elle que refléter ce que nous voulons voir, confirmant nos attentes sans jamais les troubler ? Là où l’humain se heurte à l’inconnu, vacille et transforme son rapport au monde, la machine ne fait qu’ajuster des probabilités.
Les fantasmes autour de l’IA révèlent moins ce qu’elle est que ce que nous désirons qu’elle soit. Elle devient le miroir d’un savoir sans faille, d’une intelligence sans perte, d’un langage sans silence. Pourtant, c’est dans ces manques que se loge la véritable pensée.
(Article crée avec la collaboration de ChatGPT d’Open AI)